« Après avoir mangé, on peut penser à tout ou presque, disait ma grand-mère Celia : à la politique, à l’amour, à l’éducation, à la culture, à la religion et même aux affaires et à la réussite sociale.

 

[...] J’ignore si ma famille a quelque chose de singulier. Cependant, dès que j’ai pu penser par moi-même, j’ai suspecté que cette relation obsessionnelle avec la "bonne bouffe" n’était pas seulement le problème de ma famille, mais une illustration supplémentaire de ce que l’on nomme l’identité cubaine. » De Cuba, nous connaissons la musique, les plages et Castro. Nous ignorons souvent qu’une gastronomie désormais fantasmée en est toute la substance. Ici plus qu’ailleurs priment la bonne chère et les souvenirs de ces plaisirs !

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