Elsa vit avec sa mère qui l’éduque seule.


Du père nulle mention ne sera faite dans le roman. Leur quotidien banal est décrit avec beaucoup de minutie, tout indique une vie presque normale, ordinaire…

Et pourtant peu à peu un malaise se dégage. Puis dans une seconde partie Elsa a vieillit, elle a maintenant la trentaine. Elle voit toujours sa mère, elle est désœuvrée. Et toujours ce sentiment de malaise qui grandit. On se surprend à lire ce roman très vite. On aimerait comprendre ce titre. Puis vient la conclusion. Tout s’éclaire, tout devient noir.

L’âge de détruire, de Pauline Peyrade, Minuit, 2023