Du père nulle mention ne sera faite dans le roman. Leur quotidien banal est décrit avec beaucoup de minutie, tout indique une vie presque normale, ordinaire…
Et pourtant peu à peu un malaise se dégage. Puis dans une seconde partie Elsa a vieillit, elle a maintenant la trentaine. Elle voit toujours sa mère, elle est désœuvrée. Et toujours ce sentiment de malaise qui grandit. On se surprend à lire ce roman très vite. On aimerait comprendre ce titre. Puis vient la conclusion. Tout s’éclaire, tout devient noir.